Le Mali
Le Mali, capitale Bamako, ou se situe au centre le pays dogon, est un vaste territoire situé en plein sahel. Il couvre une superficie de 1.241.021Km², soit + de 2 fois la France et 40 fois la Belgique, avec une densité moyenne en population de 9 habitants au Km².
Il fait frontière avec la Mauritanie, l’Algérie, le Niger, le Burkina Fasso, la Côte d’Yvoire, la Guinée, le Sénégal.
Traversé par le fleuve Niger, il n’a pas d’accès à la mer.
Seulement trois mois de pluies intermittentes par an ne suffisent pas à réduire la désertification, ainsi que la sécheresse.
Les 3 mois les plus chauds enregistrent journellement des températures élevées de 35° à 45° qui bouleversent l’équilibre naturel.
Les Dogons comptent approximativement 300.000 unités, sur un territoire composé du plateau surplombant la falaise et la plaine.
Le plateau est un bloc massif de grès ferrugineux, d’aspect dénudé d’où les conditions de vie très austères.
La falaise s’étend sur 200 Kms de long et 40 Kms de large. Avec sa multitude de villages perchés, c’est la région la plus peuplée.
La plaine est une vaste étendue de sable s’étirant jusqu’aux frontières du Burkina Fasso.
En pays dogon, les deux principales céréales cultivées sont le mil et le sorgho cuisinés sous forme de bière ou de bouillie compact. L’une est une boisson récréative, festive ou rituelle. L’autre est une nourriture consistante, plat unique au menu des deux repas quotidiens, agrémentée d’une sauce glaireuse à base de feuilles pillées de baobab.
L’ensemble a peu de valeur gustative. C’est un aliment simple roboratif et répétitif qui remplit l’estomac, c’est à ce titre qu’il est apprécié. Les femmes passent beaucoup de temps à préparer les repas.
La culture de l’oignon est une des plus importantes ressources des Dogons.
Sous diverses formes, ils alimentent en condiments les marchés locaux et les grandes villes du pays.
La monnaie est le franc CFA, 1000 CFA équivaut à 1.50€.
La statuaire et l’art sous toutes ses formes sont tout simplement mythiques.
Le surnaturel, la divination et l’au-delà font partie de leur quotidien.
L’habitat et l’architecture ont émerveillé les découvreurs et ethnologues qui se sont succédés au fil des décennies.
La culture matérielle (masques textiles, poteries, forges et forgerons) a alimenté bien des ouvrages spécialisés, décrivant l’immense inventabilité de ce peuple aux multiples facettes.
Les Dogons frappent l’imagination par une organisation très élaborée.
La position de la femme n’est pas de tout repos. Inlassablement, elle s’occupe de multiples taches journalières éprouvantes. Immuablement, elle s’occupe des enfants, se rend au marché et parcours régulièrement de très nombreux Kms, aller - retour, portant des charges dépassant allègrement les 20Kgs.
La corvée de l’eau est épuisante et représente souvent des déplacements importants, plusieurs fois répétés journellement.
Le maraîchage et l’élevage s’ajoutent aux taches qui n’en finissent pas, repas, toilette, filage du coton, réparations diverses, poterie, transport du bois, lessive, teinture des tissus, transformations des oignons, et j’en passe …
Les rituels de l’enterrement sont vécus au rythme des cérémonies longues et empruntes de significations mythiques qui nous échappent.
La religion Dogon se caractérise par un système compliqué de rites animistes qui se répercutent à tous les niveaux de la vie sociale. Le catholicisme et l’islam majoritaire complètent les principaux courants religieux.
Par manque de moyens de subsistance, une migration alléchante pousse les jeunes à tenter l’aventure.
Donnons leurs les moyens de s’autos suffire, de resserrer les liens de la cellule familiale et de préserver leur culture traditionnelle.
Nos actions régulières et suivies sur le terrain, 2 mois par an, visent à concrétiser ces objectifs.
C’est tellement beau, que je n’ai pas résisté :
« Autrefois, au temps où le ciel était proche de la terre, les femmes dogon décrochaient les étoiles pour les donner aux enfants. Quand ceux-ci étaient las de jouer, les mères leurs reprenaient les astres et les replaçaient dans la voute céleste ».
Il fait frontière avec la Mauritanie, l’Algérie, le Niger, le Burkina Fasso, la Côte d’Yvoire, la Guinée, le Sénégal.
Traversé par le fleuve Niger, il n’a pas d’accès à la mer.
Seulement trois mois de pluies intermittentes par an ne suffisent pas à réduire la désertification, ainsi que la sécheresse.
Les 3 mois les plus chauds enregistrent journellement des températures élevées de 35° à 45° qui bouleversent l’équilibre naturel.
Les Dogons comptent approximativement 300.000 unités, sur un territoire composé du plateau surplombant la falaise et la plaine.
Le plateau est un bloc massif de grès ferrugineux, d’aspect dénudé d’où les conditions de vie très austères.
La falaise s’étend sur 200 Kms de long et 40 Kms de large. Avec sa multitude de villages perchés, c’est la région la plus peuplée.
La plaine est une vaste étendue de sable s’étirant jusqu’aux frontières du Burkina Fasso.
En pays dogon, les deux principales céréales cultivées sont le mil et le sorgho cuisinés sous forme de bière ou de bouillie compact. L’une est une boisson récréative, festive ou rituelle. L’autre est une nourriture consistante, plat unique au menu des deux repas quotidiens, agrémentée d’une sauce glaireuse à base de feuilles pillées de baobab.
L’ensemble a peu de valeur gustative. C’est un aliment simple roboratif et répétitif qui remplit l’estomac, c’est à ce titre qu’il est apprécié. Les femmes passent beaucoup de temps à préparer les repas.
La culture de l’oignon est une des plus importantes ressources des Dogons.
Sous diverses formes, ils alimentent en condiments les marchés locaux et les grandes villes du pays.
La monnaie est le franc CFA, 1000 CFA équivaut à 1.50€.
La statuaire et l’art sous toutes ses formes sont tout simplement mythiques.
Le surnaturel, la divination et l’au-delà font partie de leur quotidien.
L’habitat et l’architecture ont émerveillé les découvreurs et ethnologues qui se sont succédés au fil des décennies.
La culture matérielle (masques textiles, poteries, forges et forgerons) a alimenté bien des ouvrages spécialisés, décrivant l’immense inventabilité de ce peuple aux multiples facettes.
Les Dogons frappent l’imagination par une organisation très élaborée.
La position de la femme n’est pas de tout repos. Inlassablement, elle s’occupe de multiples taches journalières éprouvantes. Immuablement, elle s’occupe des enfants, se rend au marché et parcours régulièrement de très nombreux Kms, aller - retour, portant des charges dépassant allègrement les 20Kgs.
La corvée de l’eau est épuisante et représente souvent des déplacements importants, plusieurs fois répétés journellement.
Le maraîchage et l’élevage s’ajoutent aux taches qui n’en finissent pas, repas, toilette, filage du coton, réparations diverses, poterie, transport du bois, lessive, teinture des tissus, transformations des oignons, et j’en passe …
Les rituels de l’enterrement sont vécus au rythme des cérémonies longues et empruntes de significations mythiques qui nous échappent.
La religion Dogon se caractérise par un système compliqué de rites animistes qui se répercutent à tous les niveaux de la vie sociale. Le catholicisme et l’islam majoritaire complètent les principaux courants religieux.
Par manque de moyens de subsistance, une migration alléchante pousse les jeunes à tenter l’aventure.
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C’est tellement beau, que je n’ai pas résisté :
« Autrefois, au temps où le ciel était proche de la terre, les femmes dogon décrochaient les étoiles pour les donner aux enfants. Quand ceux-ci étaient las de jouer, les mères leurs reprenaient les astres et les replaçaient dans la voute céleste ».
REGARDS DOGONS ASBL
Moniteur Belge n° 18645/90
Compte: BE86340084963550
BIC: BBRUBEBB
Place du Doyenne 4
4460 Horion-Hozémont
Belgique
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