Mars, terre d'accueil
L’homme moderne est un animal raté. Son rapport désastreux à l’environnement ne s’adapte pas à son milieu, contrairement à la plupart des espèces. On va vers une régulation par le manque et le désastre.
Les 4 à 5 degrés d’augmentation des températures fin du siècle, la combinaison chaleur – humidité et la montée des océans de plus de 2 mètres, alors que 70% de l’humanité est située sur les littoraux, obligeront ce monde à migrer.
Les évènements extrêmes vont s’intensifier et se multiplier, typhons, déluges, canicules, sècheresses, inondations seront monnaie courante.
La malaria touchera 5 milliards de personnes. Les maladies gelées aujourd’hui comme la grippe espagnole, la bilharziose réapparaitront.
Nous constatons que devant ces situations les politiques publiques agiront trop tard, se résignent à le pas sauver tout le monde et donc choisiront de privilégier les plus « utiles ». Les autres ne pouvant réagir, ni migrer seront condamnés à disparaître.
Alors trop sur terre. A bien réfléchir est-il encore opportun de donner et multiplier la vie sur notre planète en réel déclin ?
Que vont vivre les enfants naissants ? Ils seront chargés de réparer le monde qu’on leur laisse en héritage.
En deux siècles nous avons multiplié par huit la population mondiale.
L’eau commence à manquer un peu partout. La faim s’installe. Le dérèglement va s’intensifier.
Nous pouvons dire que nous vivons à crédit sur la planète, comme le montre « le jour de dépassement » revu sans cesse à la hausse.
L’Afrique entre folle croissance et survivance, sa population se verrait doubler en 2015 et quasi quadrupler en 2100.
Les sud- africaines issues de la classe moyenne urbaine ont en moyenne 2,4 enfants, alors que les nigériennes de population rurale, beaucoup plus pauvres, en ont . . . . 7,1.
Le changement des mentalités dominatrices permettrait un développement éducatif favorable à une plus grande responsabilité devant cette situation grandissante de certitude. Il n’y a pas que le continent africain.
Le reste du monde est aux mains de nouveaux maîtres qui empêchent la diversité et imposent des idées totalitaires, destructrices et antidémocratiques.
Ce n’est qu’en formant une seule et même communauté terrienne, une seule humanité, en étant unis dans nos différences que nous pouvons nous soutenir mutuellement, nous éloigner du précipice et échapper au règne destructeur génocidaire de 1% des terriens qui contrôlent les richesses et le pouvoir. La machine « argent » est programmée pour démolir, accumuler, excaver, détruire la planète et les sociétés qui lui aurons permis d’exister.
Et ce moment présent prend son importance car lui seul décide. C’est le moment où nous sommes vivants, encore vivants faut-il le dire. La solidarité devient de plus en plus présente, car le temps est compté par chaque moment qui passe. Oublier l’échéance pour réaliser des gestes que nous pouvons encore matérialiser par nos engagements humanitaires est primordial. Apporter le réconfort, la satisfaction du partage, un peu de rêve à ceux qui restent en rade d’une société exagérément avide de pouvoir et d’argent doit nous réjouir.
Nos expériences en terrain miné confortent notre opinion de désaveux et d’oubli des grands de ce monde. Notre association Regards Dogons, minuscule, voir dérangeante pour certains, lutte contre les éléments pour améliorer le quotidien de quelques-uns de nos semblables perdus dans le dédale d’un système qui les rend affreusement vulnérables. Le temps ne joue pas en notre faveur, faut-il encore qu’il existe. L’urgence de nos priorités nous pousse à rechercher des appuis financiers, des acteurs sensibles, déterminés à s’assembler pour une cause humanitaire ciblée et réfléchie. Avant d’aller droit dans le mur, il nous reste ce que nous appellerons une ultime étape de colmatage, de soins intensifs voir palliatifs, pour alléger la note de ceux qui ne pourrons jamais la payer.
Nos motivations rencontrent peu d’écho et prêcher dans le désert n’amène que d’insatisfactions lourdes de conséquences.
La crédibilité viendrait-elle d’une source médiatique d’influence de masse ? Si oui, et nous l’imaginons de plus en plus, y a-t-il une vedette du spectacle, du sport qui s’investirait dans une démarche parrainée, désintéressée, populiste et valorisante. Transmettre sa générosité pour une bonne cause ajoute et prolonge l’utilité de notre passage en ce monde. Le fierté du geste accompli ne soulève pas des montagnes, mais rend une dignité bafouée au trop nombreux oubliés du système. Partageons cette ambition qui n’est que le reflet d’un humanisme normal, porté par des gens sensés, sensibles et dévoués.
Le luxe et la misère ont un coût. Que ceux qui ont le temps et les moyens se donnent le temps de vivre les deux.
Pensez-vous que cette analyse, peut-être farfelue pour certains, soit réaliste, homogène et digne d’interrogations constructives réalisables.
Les 4 à 5 degrés d’augmentation des températures fin du siècle, la combinaison chaleur – humidité et la montée des océans de plus de 2 mètres, alors que 70% de l’humanité est située sur les littoraux, obligeront ce monde à migrer.
Les évènements extrêmes vont s’intensifier et se multiplier, typhons, déluges, canicules, sècheresses, inondations seront monnaie courante.
La malaria touchera 5 milliards de personnes. Les maladies gelées aujourd’hui comme la grippe espagnole, la bilharziose réapparaitront.
Nous constatons que devant ces situations les politiques publiques agiront trop tard, se résignent à le pas sauver tout le monde et donc choisiront de privilégier les plus « utiles ». Les autres ne pouvant réagir, ni migrer seront condamnés à disparaître.
Alors trop sur terre. A bien réfléchir est-il encore opportun de donner et multiplier la vie sur notre planète en réel déclin ?
Que vont vivre les enfants naissants ? Ils seront chargés de réparer le monde qu’on leur laisse en héritage.
En deux siècles nous avons multiplié par huit la population mondiale.
L’eau commence à manquer un peu partout. La faim s’installe. Le dérèglement va s’intensifier.
Nous pouvons dire que nous vivons à crédit sur la planète, comme le montre « le jour de dépassement » revu sans cesse à la hausse.
L’Afrique entre folle croissance et survivance, sa population se verrait doubler en 2015 et quasi quadrupler en 2100.
Les sud- africaines issues de la classe moyenne urbaine ont en moyenne 2,4 enfants, alors que les nigériennes de population rurale, beaucoup plus pauvres, en ont . . . . 7,1.
Le changement des mentalités dominatrices permettrait un développement éducatif favorable à une plus grande responsabilité devant cette situation grandissante de certitude. Il n’y a pas que le continent africain.
Le reste du monde est aux mains de nouveaux maîtres qui empêchent la diversité et imposent des idées totalitaires, destructrices et antidémocratiques.
Ce n’est qu’en formant une seule et même communauté terrienne, une seule humanité, en étant unis dans nos différences que nous pouvons nous soutenir mutuellement, nous éloigner du précipice et échapper au règne destructeur génocidaire de 1% des terriens qui contrôlent les richesses et le pouvoir. La machine « argent » est programmée pour démolir, accumuler, excaver, détruire la planète et les sociétés qui lui aurons permis d’exister.
Et ce moment présent prend son importance car lui seul décide. C’est le moment où nous sommes vivants, encore vivants faut-il le dire. La solidarité devient de plus en plus présente, car le temps est compté par chaque moment qui passe. Oublier l’échéance pour réaliser des gestes que nous pouvons encore matérialiser par nos engagements humanitaires est primordial. Apporter le réconfort, la satisfaction du partage, un peu de rêve à ceux qui restent en rade d’une société exagérément avide de pouvoir et d’argent doit nous réjouir.
Nos expériences en terrain miné confortent notre opinion de désaveux et d’oubli des grands de ce monde. Notre association Regards Dogons, minuscule, voir dérangeante pour certains, lutte contre les éléments pour améliorer le quotidien de quelques-uns de nos semblables perdus dans le dédale d’un système qui les rend affreusement vulnérables. Le temps ne joue pas en notre faveur, faut-il encore qu’il existe. L’urgence de nos priorités nous pousse à rechercher des appuis financiers, des acteurs sensibles, déterminés à s’assembler pour une cause humanitaire ciblée et réfléchie. Avant d’aller droit dans le mur, il nous reste ce que nous appellerons une ultime étape de colmatage, de soins intensifs voir palliatifs, pour alléger la note de ceux qui ne pourrons jamais la payer.
Nos motivations rencontrent peu d’écho et prêcher dans le désert n’amène que d’insatisfactions lourdes de conséquences.
La crédibilité viendrait-elle d’une source médiatique d’influence de masse ? Si oui, et nous l’imaginons de plus en plus, y a-t-il une vedette du spectacle, du sport qui s’investirait dans une démarche parrainée, désintéressée, populiste et valorisante. Transmettre sa générosité pour une bonne cause ajoute et prolonge l’utilité de notre passage en ce monde. Le fierté du geste accompli ne soulève pas des montagnes, mais rend une dignité bafouée au trop nombreux oubliés du système. Partageons cette ambition qui n’est que le reflet d’un humanisme normal, porté par des gens sensés, sensibles et dévoués.
Le luxe et la misère ont un coût. Que ceux qui ont le temps et les moyens se donnent le temps de vivre les deux.
Pensez-vous que cette analyse, peut-être farfelue pour certains, soit réaliste, homogène et digne d’interrogations constructives réalisables.
REGARDS DOGONS ASBL
Moniteur Belge n° 18645/90
Compte: BE86340084963550
BIC: BBRUBEBB
Place du Doyenne 4
4460 Horion-Hozémont
Belgique
Moniteur Belge n° 18645/90
Compte: BE86340084963550
BIC: BBRUBEBB
Place du Doyenne 4
4460 Horion-Hozémont
Belgique