Présentation asbl
L’asbl « Regards Dogons » a vu le jour en 1990.
Elle a été inscrite au Moniteur Belge le 29 novembre 1990.
N° d’identification > 18645/90.
N° d’entreprise > 044303810258.
Son siège social est établi à Horion-Hozémont (Grâce-Hollogne – 4460), Place du Doyenné, 4, sous la présidence de Jean-Marie Lheureux.
Objet : L’association a pour objet, l’aide philanthropique et l’établissement de contacts permanents avec le Pays Dogon au Mali.
Notre première expérience de terrain s’est concrétisée lors d’une visite du village de Pelou ou aucune infrastructure digne de ce nom n’existait. Petit à petit et au fil des années nous avons tenté d’améliorer le quotidien des habitants de ce gros village du plateau. Le succès des résultats enregistrés a conforté notre envie d’étendre nos actions à d’autres villages, tout en restant dans une zone réduite nous permettant de ne pas trop disperser nos efforts et de
garantir les suivis nécessaires et obligatoires à toute installation de projets.
Nous avons privilégié l’accès à l’école de nombreux enfants dans différents villages en les dotant du matériel nécessaire. Des aménagements de locaux d’espaces de sécurité, ainsi que des restaurations et d’entretiens divers ont été ajoutés à nos premiers engagements. Les soins de santé ont suivi avec des aménagements de dispensaires en les dotant du matériel nécessaire, électricité solaire, médicaments. Il y a eu des plantations d’arbres. Des micros crédit ont été mis en place afin de dynamiser certains projets principalement dans le domaine du maraichage et le développement d’activités diverses porteuses de revenus.
Le domaine des personnes handicapées a été largement abordé par l’assistance à des centres qui les regroupant ont été doté de matériel adapté redonnant un sens à la vie de ceux qui peu de temps avant étaient abandonnés. Des formations spécifiques ont été organisées dans différents domaines.
Et nous en venons à nos projets prioritaires qui sont l’accès à l’eau potable.
Notre expérience de terrain, et le temps passé sur celui-ci, nous a fortement engagé dans ce domaine extrêmement complexe mais d’une importance capitale. La survie étant directement associée à l’accès à cette denrée rare.
Les expériences et les constats désastreux que nous avons vécus directement au contact de ces populations en recherche permanente de cette source de vie nous ont mobilisés totalement.
Pour garantir ce minimum vital, des moyens importants doivent être débloqués. La bataille est inégale. Peu d’entre nous en sont conscients et pourtant mourir de soif n’est pas chose aisée.
Voilà ce qui pourrait vous attendre si vous étiez confronté à cette fin qui ne peut-être qu’accidentelle. Pour ceux qui vivent dans cette perspective journalière, il en est tout autrement.
Donc, avec la déshydratation, le sang se concentre, les flux sanguins diminuent faute de fluidité, avec une sensation de feu dans les veines et les artères. Puis progressivement la langue colle au palais, gonfle et les yeux se déssèchent, perdent leur acuité, les oreilles bourdonnent. L’homme ne peut plus parler, il ne peut plus voir non plus, son cœur se met à palpiter car il doit fournir un travail accru en poussant un sang épais et visqueux dans le corps épuisé.
Arrive le moment ou la soif se met à le torturer, avec d’affreux maux de tête. Il devient rapidement aveugle avec des crampes musculaires qui le tordent de douleur. Très vite une chaine mortelle se met irréversiblement en place, avec l’arrêt du fonctionnement des reins qui entraine une encéphalopathie urémique. Les battements du cœur accélèrent, deviennent arytmiques. Le tension monte et commence à faire éclater les vaisseaux du cerveau. La lente et effroyable agonie sous l’enfer du soleil se termine brutalement dans le silence de spasmes convulsifs.
Sans adhérer à la théorie du complot, je suis effleuré par le doute et je m’interpelle sur la politique volontaire de l’abominable machination du pourquoi ne pas laisser la démographie mondiale s’autoréguler par la pénurie.
Comme si ce n’était pas suffisant, quelques chiffres malheureusement réels nous projettent dans un monde de folies destructrices.
Dans le monde, le manque d’eau et les maladies liées à l’eau tuent plus de 32.000 personnes chaque jour et un enfant toutes les 8 secondes.
Cela pourrait représenter la chute de 300 « Boeings » qui s’écraseraient chaque jour dans l’indifférence la plus totale.
Nous avons la chance de ne pas être nés dans cet environnement hostile. Il n’y a peut-être pas la volonté d’apurer cette dette et pourtant c’est possible… Et pendant ce temps, détournant leur regard, les grands de ce monde utilisent des milliards de dollars en armement, sachant que 4% à 6% de ce montant garantiraient l’accès à l’eau potable pour tous et son assainissement. Le jugement est sans appel …
Nous offrons et partageons des émotions avec vous !
L’Asbl Regards Dogons a pour particularité d’aider à la réalisation de projets que les populations lui proposent .Les habitants participent à la réalisation de ceux ci ,l’expérience de plus de 30 ans de Jean Marie lui permet de choisir et de suivre les nouveaux et les anciens projets.
Vous recherchez une association sérieuse pour lui confier votre humanité ?
Vous êtes au bon endroit ,ensemble nous ne changerons pas le monde mais nous offrirons de l’espoir à travers des petits projets à taille humaine.Offrir un sourire ,de l’espoir voila notre but .Nous pourrions simplement vivre sans nous préoccuper de la souffrance qui pousse des milliers de personnes vers Jean Marie Lheureux ,Patricia Charpentier ,Sonia Lheureux des passeurs sans scrupules. Je ne connais pas la solution mais je reste persuadé que de répondre positivement aux projets de vie des populations ,de pouvoir simplement vivre du fruit de son travail est une partie de la solution.
Elle a été inscrite au Moniteur Belge le 29 novembre 1990.
N° d’identification > 18645/90.
N° d’entreprise > 044303810258.
Son siège social est établi à Horion-Hozémont (Grâce-Hollogne – 4460), Place du Doyenné, 4, sous la présidence de Jean-Marie Lheureux.
Objet : L’association a pour objet, l’aide philanthropique et l’établissement de contacts permanents avec le Pays Dogon au Mali.
Notre première expérience de terrain s’est concrétisée lors d’une visite du village de Pelou ou aucune infrastructure digne de ce nom n’existait. Petit à petit et au fil des années nous avons tenté d’améliorer le quotidien des habitants de ce gros village du plateau. Le succès des résultats enregistrés a conforté notre envie d’étendre nos actions à d’autres villages, tout en restant dans une zone réduite nous permettant de ne pas trop disperser nos efforts et de
garantir les suivis nécessaires et obligatoires à toute installation de projets.
Nous avons privilégié l’accès à l’école de nombreux enfants dans différents villages en les dotant du matériel nécessaire. Des aménagements de locaux d’espaces de sécurité, ainsi que des restaurations et d’entretiens divers ont été ajoutés à nos premiers engagements. Les soins de santé ont suivi avec des aménagements de dispensaires en les dotant du matériel nécessaire, électricité solaire, médicaments. Il y a eu des plantations d’arbres. Des micros crédit ont été mis en place afin de dynamiser certains projets principalement dans le domaine du maraichage et le développement d’activités diverses porteuses de revenus.
Le domaine des personnes handicapées a été largement abordé par l’assistance à des centres qui les regroupant ont été doté de matériel adapté redonnant un sens à la vie de ceux qui peu de temps avant étaient abandonnés. Des formations spécifiques ont été organisées dans différents domaines.
Et nous en venons à nos projets prioritaires qui sont l’accès à l’eau potable.
Notre expérience de terrain, et le temps passé sur celui-ci, nous a fortement engagé dans ce domaine extrêmement complexe mais d’une importance capitale. La survie étant directement associée à l’accès à cette denrée rare.
Les expériences et les constats désastreux que nous avons vécus directement au contact de ces populations en recherche permanente de cette source de vie nous ont mobilisés totalement.
Pour garantir ce minimum vital, des moyens importants doivent être débloqués. La bataille est inégale. Peu d’entre nous en sont conscients et pourtant mourir de soif n’est pas chose aisée.
Voilà ce qui pourrait vous attendre si vous étiez confronté à cette fin qui ne peut-être qu’accidentelle. Pour ceux qui vivent dans cette perspective journalière, il en est tout autrement.
Donc, avec la déshydratation, le sang se concentre, les flux sanguins diminuent faute de fluidité, avec une sensation de feu dans les veines et les artères. Puis progressivement la langue colle au palais, gonfle et les yeux se déssèchent, perdent leur acuité, les oreilles bourdonnent. L’homme ne peut plus parler, il ne peut plus voir non plus, son cœur se met à palpiter car il doit fournir un travail accru en poussant un sang épais et visqueux dans le corps épuisé.
Arrive le moment ou la soif se met à le torturer, avec d’affreux maux de tête. Il devient rapidement aveugle avec des crampes musculaires qui le tordent de douleur. Très vite une chaine mortelle se met irréversiblement en place, avec l’arrêt du fonctionnement des reins qui entraine une encéphalopathie urémique. Les battements du cœur accélèrent, deviennent arytmiques. Le tension monte et commence à faire éclater les vaisseaux du cerveau. La lente et effroyable agonie sous l’enfer du soleil se termine brutalement dans le silence de spasmes convulsifs.
Sans adhérer à la théorie du complot, je suis effleuré par le doute et je m’interpelle sur la politique volontaire de l’abominable machination du pourquoi ne pas laisser la démographie mondiale s’autoréguler par la pénurie.
Comme si ce n’était pas suffisant, quelques chiffres malheureusement réels nous projettent dans un monde de folies destructrices.
Dans le monde, le manque d’eau et les maladies liées à l’eau tuent plus de 32.000 personnes chaque jour et un enfant toutes les 8 secondes.
Cela pourrait représenter la chute de 300 « Boeings » qui s’écraseraient chaque jour dans l’indifférence la plus totale.
Nous avons la chance de ne pas être nés dans cet environnement hostile. Il n’y a peut-être pas la volonté d’apurer cette dette et pourtant c’est possible… Et pendant ce temps, détournant leur regard, les grands de ce monde utilisent des milliards de dollars en armement, sachant que 4% à 6% de ce montant garantiraient l’accès à l’eau potable pour tous et son assainissement. Le jugement est sans appel …
Nous offrons et partageons des émotions avec vous !
L’Asbl Regards Dogons a pour particularité d’aider à la réalisation de projets que les populations lui proposent .Les habitants participent à la réalisation de ceux ci ,l’expérience de plus de 30 ans de Jean Marie lui permet de choisir et de suivre les nouveaux et les anciens projets.
Vous recherchez une association sérieuse pour lui confier votre humanité ?
Vous êtes au bon endroit ,ensemble nous ne changerons pas le monde mais nous offrirons de l’espoir à travers des petits projets à taille humaine.Offrir un sourire ,de l’espoir voila notre but .Nous pourrions simplement vivre sans nous préoccuper de la souffrance qui pousse des milliers de personnes vers Jean Marie Lheureux ,Patricia Charpentier ,Sonia Lheureux des passeurs sans scrupules. Je ne connais pas la solution mais je reste persuadé que de répondre positivement aux projets de vie des populations ,de pouvoir simplement vivre du fruit de son travail est une partie de la solution.
REGARDS DOGONS ASBL
Moniteur Belge n° 18645/90
Compte: BE86340084963550
BIC: BBRUBEBB
Place du Doyenne 4
4460 Horion-Hozémont
Belgique
Moniteur Belge n° 18645/90
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4460 Horion-Hozémont
Belgique